Garcia Marquez, poétique du naufragé
Le texte ci-dessous est rattaché à un projet mis en oeuvre au sein des Mécaniques Célibataires, centré sur la nouvelle Le plus beau noyé du monde, de Gabriel Garcia Marquez. Le texte visait à présenter de façon succincte l'axe interprétatif adopté pour la lecture et la mise en scène du texte.
De même que pour le travail consacré à Melville, il s'agissait avant tout de chercher à restituer le sens de ce symbole que constitue le Noyé. Ce texte n'est donc qu'un fragment dans la construction d'un spectacle de théâtre musical, dont vous pourrez vous faire une idée en cliquant sur le lien ci-dessous :
Vidéo extraite du spectacle, avec Daniel Scalliet et Sébastien Bacquias
"La beauté est ce par quoi le réel vient transparaître dans l'ordre factice de la réalité ; la beauté est donc remise en cause, contestation de la réalité, de l'ordre, de la norme, de la convention, du langage commun. Ce désordre est précisément la source de la fécondité véritable, d'un accès au réel authentique, de la création, et cette création à son tour est à la fois un acte de dénonciation des clans humains arbitraires, et un acte de proposition pour l'émergence de communautés véritablement humaines." (extrait)
"Le plus beau noyé du monde", une lecture (86.4 Ko)
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