al Ibahiyya (Pascal Garandel)
philosophies hétérodoxes et hérésies philosophiques
Accueil
Le projet al Ibahiyya
Philosophie
Philosophie analytique
Carnap
Wittgenstein
Russell
Ernst Bloch
Léon Chestov
Georges Bataille
C. Castoriadis
Nietzsche
Philosophie politique
Divers
Foucault
Robert Linhart, l'établi
Théorie économique
Economie islamique
Théorie monétaire
Théorie de la firme
Microéconomie
Histoire économique
Management
Théologie et philosophie religieuse
Protestantisme
Paul Tillich
Karl Barth
Jacques Ellul
Islam
Ibn Arabi
Islam et économie
Hétérodoxies
Ernst Bloch
Léon Chestov
Art et Littérature
Présentation
Gide, anthologie philosophique
Pasolini, philosophe hérétique
Moby Dick, monstre littéraire
Garcia Marquez, le Noyé
Thomas Mann : guerre des mots
Histoires de perspective
Jeux Vidéo
Philosophie et astronomie
La révolution astronomique
Astronomie et vision du monde
Astronomie et littérature
Géographie, cartographie
La révolution géographique
La géographie comme science
Géographie et humanisme
Entre tradition et rupture
Géographie et religion
Géographie et théologie
Les Jésuites en mission
Géographie et philosophie
Géographie et scepticisme
La tolérance des Turcs
Le spectacle du monde
Accueil
Quiz
Le Vivant
Le Vivant
Quiz sur le vivant.
1/ Pour la science contemporaine,
Pour la science contemporaine,
les virus sont évidemment des êtres vivants, puisque ce sont de véritables ''machines à se reproduire'' dès qu'ils entrent dans un organisme vivant.
les virus ne peuvent évidemment pas être des êtres vivants, puisqu'ils sont incapables de se reproduire par eux-mêmes.
la question de savoir si les virus sont des êtres vivants n'a pas de réponse évidente.
2/ Pour Aristote, un être vivant est
Pour Aristote, un être vivant est
un être animé par une âme: végétative, sensitive ou intellective.
un organisme composé d'au moins une cellule.
un automate, qui n'a une âme que s'il s'agit d'un être humain.
3/ L'approche mécaniste des êtres vivants implique
L'approche mécaniste des êtres vivants implique
que les êtres vivants sont tous dotés d'un corps et d'une âme.
que les corps vivants sont animés par un principe immatériel qui les met en mouvement.
que l'organisme peut être expliqué selon le modèle de l'automate matériel : chaque partie du corps est un rouage du mécanisme global qu'est le corps.
4/ L'approche vitaliste des êtres vivants implique
L'approche vitaliste des êtres vivants implique
que les corps vivants ne sont que des organismes matériels, soumis aux lois de la mécanique.
que les organismes vivants sont animés par un principe vital, immatériel, qui n'est pas directement observable.
que la vie est une valeur sacrée que l'être humain n'a pas le droit de détruire.
5/ L'un des principaux problèmes que pose l'approche mécaniste est que
L'un des principaux problèmes que pose l'approche mécaniste est que
on ne parvient pas à savoir où se trouve la pile des êtres vivants : comment font-ils pour convertir les ressources extérieures en énergie ?
elle fait appel à un principe immatériel dont on ne voit vraiment pas en quoi il consiste.
elle ne rend pas compte du caractère apparemment ''intentionnel'' du comprtement des êtres vivants, qui semblent ''vouloir'' survivre, ce qui les distingue d'un automate.
6/ L'un des principaux problèmes que pose l'approche vitaliste est que
L'un des principaux problèmes que pose l'approche vitaliste est que
il y a des cas où la valeur de la vie pose problème : l'euthanasie est-elle toujours illégitime ?
quand on pèse un corps avant et après sa mort, le poids est le même.
l'on ne sait ni en quoi consiste le principe vital, ni où il se situe dans l'organisme, ni comment il agit sur l'organisme : il semble donc anti-scientifique.
7/ Pour la biologie contemporaine (majoritaire), le caractère intentionnel des comportements des êtres vivants s'explique principalement par
Pour la biologie contemporaine (majoritaire), le caractère intentionnel des comportements des êtres vivants s'explique principalement par
le fait que Dieu oriente le cours de la création de façon à maintenir en vie les créatures qu'il a formées.
le fait que ces comportements ''instinctifs'' (mue, hibernation, migration, etc.) sont en vérité inscrits sous forme de programmes dans l'ADN.
le hasard : ce que nous prenons pour des comportements intentionnels ne sont en fait que des phénomènes aléatoires.
8/ Pour la biologie contemporaine (majoritaire), le fait que l'évolution des êtres vivants semble orientée dans le sens d'un progrès des capacités de survie s'explique par le fait que
Pour la biologie contemporaine (majoritaire), le fait que l'évolution des êtres vivants semble orientée dans le sens d'un progrès des capacités de survie s'explique par le fait que
la sélection naturelle sélectionne perpétuellement les modifications génétiques qui favorisent la survie dans le milieu, et élimine les autres.
les mutations génétiques n'ont pas lieu de façon aléatoire : toute mutation génétique vise un progrès dans les capacités d'adaptation.
Dieu oriente le processus global de la création dans le sens d'une perfection toujours plus grande, et survivre est une qualité.
9/ Les végétaux posent un problème d'ordre bioéthique dans la mesure où
Les végétaux posent un problème d'ordre bioéthique dans la mesure où
la biologie et ses applications (notamment les OGM) peuvent constituer une menace pour la biodiversité et conduire à une privatisation du vivant.
il est contraire à la loi morale de faire soufrrir sous prétexte de recherche scientifique un végétal qui, par nature, est innocent.
un végétal est un être vivant, or la vie est sacrée, donc on ne devrait pas réduire un végétal à l'état de cobaye.
10/ Les animaux posent un problème d'ordre bioéthique dans la mesure où
Les animaux posent un problème d'ordre bioéthique dans la mesure où
il est difficile de justifier des expériences sur l'homme au profit des animaux.
l'expérimentation animale, et notamment la vivisection, impliquent une souffrance pour une opulation animale au seul profit de l'homme.
il est difficile de savoir si les animaux ont une âme : si c'est le cas, il faudrait respecter leur dignité.
11/ L'un des problèmes fondamentaux que pose l'expérimentation scientifique sur des êtres humains est que
L'un des problèmes fondamentaux que pose l'expérimentation scientifique sur des êtres humains est que
on ne peut utiliser comme cobayes pour les expériences dangereuses que des individus auxquels on ne laisse pas le choix (prisonniers, psychopathes, etc.) ce qui fausse la validité des résultats.
très logiquement, les populations lesplus défavorisées seront celles qui participeront aux protocoles les plus dangereux.
les résultats obtenus sur une catégorie d'êtres humains (blonds, chrétiens, etc.) ne vaut pas pour d'autres catégories.
12/ Ce qui fait qu'un être vivant ne peut être réduit à un ''objet de science''
Ce qui fait qu'un être vivant ne peut être réduit à un ''objet de science''
c'est qu'il n'est justement pas seulement un ''objet'' : en tant qu'être doté de la vie, il contient l'amorce de ce qui fait d'un être un sujet (perception, sensation, conscience)
c'est qu'il a été créé par Dieu, or Dieu n'est pas un objet de science.
c'est qu'il n'existe pas du tout de science du vivant : la biologie est une imposture.
13/ Ciome principe régulant l'expérimentation animale, on peut citer
Ciome principe régulant l'expérimentation animale, on peut citer
le principe des ""3 S"" (sacrifier, saturer, soumettre)
le principe des ''3 R'' (réduire, remplacer, raffiner)
le principe des ''3 A" (abolir, arrêter, atténuer)
14/ Un problème de bioéthique est un problème
Un problème de bioéthique est un problème
que la science peut éclairer, mais qu'elle ne peut résoudre : comme c'est une question morale, seule le jugement collectif des citoyens, éclairé par les scientifiques, peut le trancher.
scientifique : seuls les scientifiques doivent le résoudre.
moral : la science n'a rien à nous dire à ce sujet
Voir les réponses
Actualités du Site
Posez vos questions !
Posez vos questions !
Espace élèves
Pages
Terminales générales
HLP Première
Cours en ligne
Cours (par thèmes)
Bonheur, Désir, Devoir
La culture, l'art et la technique
Histoire, sens et interprétation
La liberté, la raison et la loi
Le sujet, la conscience et l'inconscient
La religion, la foi et le savoir
Le vivant, entre science et éthique
Raison, réel et vérité
Définitions et chronologies
Synthèses (archives)
Liberté, désir et raison
Bonheur et Morale
Raison, réel et vérité
Sujet, conscience et inconscient
Culture, art et technique
Oeuvres suivies
Liberté et sécurité
Archives 2020
TG7
TG8
Term HLP
1ere HLP (1)
1ere HLP (2)