al Ibahiyya (Pascal Garandel)
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Art, technique, culture
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1/ Pour Hannah Arendt, si l'industrie du loisir se tourne vers le patrimoine culturel
Pour Hannah Arendt, si l'industrie du loisir se tourne vers le patrimoine culturel
c'est pour rendre la culture accessible au plus grand nombre
c'est pour le piller, à la recherche de nouveaux produits
c'est parce qu'elle s'intéresse à la culture
2/ Pour Hannah Arendt, les objets du patrimoine culturel
Pour Hannah Arendt, les objets du patrimoine culturel
ne sont pas faits pour être 'consommés'' : il faut donc les modifier pour en faire des produits de consommation
sont généralement divertissants : ce qui fait qu'ils sont attractifs pour l'industrie du loisir
sont ennuyeux ; même en les transformant, ils ne deviennent jamais divertissants.
3/ Pour Hannah Arendt, ce qui fait la valeur culturelle d'une oeuvre, c'est
Pour Hannah Arendt, ce qui fait la valeur culturelle d'une oeuvre, c'est
son prix : plus elle est chère, et plus elle a de valeur.
qu'elle sollicite, mobilise et développe nos capacités spécifiquement humaines (imagination, réflexion, empathie...)
qu'elle est reconnue comme culturelle par les experts
4/ Pour Hannah Arendt, il faut donc admettre que
Pour Hannah Arendt, il faut donc admettre que
les oeuvres culturelles sont d'autant plus divertissantes qu'elles sont culturelles
on peut très bien apprécier la valeur culturelle d'une oeuvre sans faire d'efforts.
toute oeuvre culturelle exige un effort, un ''travail'' (qui n'est pas nécessairement déplaisant) de nos facultés
5/ Pour Hannah Arendt, le propre du divertissement est de
Pour Hannah Arendt, le propre du divertissement est de
laisser en repos nos facultés proprement humaines, nous faire oublier notre condition d'hommes
nous faire réfléchir ; une émission de divertissement est toujours intellectuellement difficile à comprendre
divertir, parce qu'il est divertissant
6/ Pour Hannah Arendt, on ne peut transformer une oeuvre culturelle (comme une oeuvre d'art) en produit de divertissement
Pour Hannah Arendt, on ne peut transformer une oeuvre culturelle (comme une oeuvre d'art) en produit de divertissement
qu'en rendant le divertissement ennuyeux.
qu'en la ''dénaturant'', c'est-à-dire en lui faisant perdre toute sa dimension culturelle
qu'à la condition que l'auteur soit d'accord ; dans le cas contraire, il est préférable de s'abstenir, surtout s'il est mort.
7/ Pour Pierre Bourdieu, la télévision des années 50 avait
Pour Pierre Bourdieu, la télévision des années 50 avait
un but commercial : le but est de réaliser le plus d'audience possible, en surfant sur les tendances primaires
un but culturel : la télévision appartenait à l'Etat et jouait un rôle de service public
un but démocratique : il fallait donner à chacun les moyens de former son propee jugement.
8/ Pour Pierre Bourdieu, la télévision des années 90 avait
Pour Pierre Bourdieu, la télévision des années 90 avait
un but commercial : le but est de réaliser le plus d'audience possible, en surfant sur les tendances primaires
un but culturel : la télévision appartenait à l'Etat et jouait un rôle de service public
un but démocratique : il fallait donner à chacun les moyens de former son propee jugement.
9/ Pour Pierre Bourdieu, la télévision des années 50 n'est pas démocratique
Pour Pierre Bourdieu, la télévision des années 50 n'est pas démocratique
parce qu'elle est ''paternaliste'' : elle vise à imposer aux citoyens UNE culture de référence, celle qu'il pense être la meilleure.
parce qu'elle ne permet pas à chacun de voir ce dont il a envie
parce qu'elle ne s'adresse qu'à l'élite sociale
10/ Pour Pierre Bourdieu, la télévision des années 90 n'est pas démocratique
Pour Pierre Bourdieu, la télévision des années 90 n'est pas démocratique
parce qu'elle ne s'adresse qu'aux masses : les élites sont désavantagées
parce qu'elle oblige tous les citoyens à réfléchir par eux-mêmes, au lieu de les laisser se divertir
parce qu'elle est démagogique : elle flatte les tendances lesplus basses des citoyens au lieu de les aider à penser par eux-mêmes
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